اِتَّبِعْ مَآ اُوْحِيَ اِلَيْكَ مِنْ رَّبِّكَۚ لَآ اِلٰهَ اِلَّا هُوَۚ وَاَعْرِضْ عَنِ الْمُشْرِكِيْنَ ( الأنعام: ١٠٦ )
ittabi' maaa oohiya ilaika mir Rabbika laaa ilaaha illaa Huwa wa a'rid 'anil mushrikeen (al-ʾAnʿām 6:106)
English Sahih:
Follow, [O Muhammad], what has been revealed to you from your Lord – there is no deity except Him – and turn away from those who associate others with Allah. (Al-An'am [6] : 106)
Muhammad Hamidullah:
Suis ce qui t'est révélé de la part de ton Seigneur. Point de divinité autre que Lui. Et écarte-toi des associateurs. (Al-An'am [6] : 106)
1 Mokhtasar French
Ô Messager, suis la vérité que te révèle ton Seigneur, exalté soit-Il, car il n’existe pas de divinité méritant d’être adorée autre que Lui. Que l’obstination que tu rencontres chez les polythéistes ne chagrine pas ton cœur car c’est Allah qui se chargera d’eux.
2 Rashid Maash
3 Islamic Foundation
4 Shahnaz Saidi Benbetka
5 Tafsir Ibn Kathir
Dieu ordonne à Son Prophète ﷺ et à ceux qui le suivent de se conformer aux révélations et de les mettre en exécution, car elles sont la vérité émanant du Seigneur sans aucun doute, et consistent à croire qu'il n'y a d'autre divinité que Lui.
Il lui or donne également de s'éloigner des polythéistes, de leur pardonner leurs méfaits, d'endurer leur nuisance jusqu'à ce qu'il lui accorde la vic toire sur eux.
Dieu a certes un but d'égarer les impies car s'il le vou lait, Il aurait montré la voie droite à tous les hommes et «Si Allah voulait, Il ne permettrait pas qu'on Lui donne des associés».
De par Sa sa gesse et Son vouloir Il dirige qui Il veut et égare qui Il veut, Il interroge ra tous Ses serviteurs sans être interrogé.
«Nous ne t'avons pas commis pour être leur gardien» de garder leurs actes et paroles «ni pour être leur défenseur» chargé de leurs biens et leurs affaires.
Tu n'as pas mission que leur communiquer les enseigne ments, et le compte final nous appartient.
Il lui dit dans un autre ver set: «Prêche.
Car tu n'es qu'un missionnaire: Tu es sans autorité sur les hommes» [Coran LXXXVIII, 21-221.